samedi 8 octobre 2011

vendredi 7 octobre 2011

Suivez la corde.....


Couvent du Santo Spirito

Cracked Culture?/
The Quest for Identity in Contemporary Chinese Art!
 
????????????











Photos :ZEN

jeudi 6 octobre 2011

C'est chez moi! ( CORRIGE)





 La Corte del Fontego ouvre sur le campo Santa Marguerita

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 Plus loin à quelques minutes de cette corte, ce gentil minou nous emmène Fondamenta Bembo o Malcanton

Suivez-le! Et ne manquez pas de cliquer sur le lien.



Alors, vous venez?



Et voilà!



C'est chez moi !  VOIR ici



N'oubliez-pas le guide en partant!



Photos: ZEN!

mardi 4 octobre 2011

Et voici VOS choix!

Gustave KLIMT


Ces tubéreuses sentaient si fort! Ce marasquin était si chaud ! 
On s'est tellement embrassés!...Peut être est-ce cela?...
Cloches, sonnez en mon honneur ! Chantez ma gloire, rossignols des Giardini! Et vous, ange d'or du grand campanile, criez , du  haut de l'azur, criez à la foule qui traverse la place, criez aux vaporetti, aux gondoles, à la ville entière, que je suis heureux, et que, par ma fenêtre ouverte, vous avez vu, près de mon lit,- sur un fauteuil, bien en ordre,- son ombrelle, son chapeau, ses gants, son sautoir, son corset, sa chemise...
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Gabriel SOULAGES

Catherine C. a été la première à me proposer son choix.

Pour ma part, la phrase "on s'est tellement embrassés", m'a immédiatement fait penser au tableau "Le Baiser" de Gustave Klimt (qui se trouve au Palais du Belvédère à Vienne).  C'est donc ce tableau que j'ai envie de te proposer.

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Anne a suivi de près 
J'ai choisi des images d'art contemporain pour illustrer votre publication qui terminera la série "Idylle vénitienne". Elles sont issues de la Biennale de cette année. Je n'ai malheureusement pas relevé le nom du peintre qui a réalisé le portrait de la jeune femme de dos, mais je peux vous dire que j'ai pris cette photo à l'Arsenal, dans la partie consacrée aux lauréats des écoles d'art italiennes les plus prestigieuses.

 Tableau signé Elise ROSSI

 Le tableau est de Valério Adami, un artiste que j'aime beaucoup et qui exposait à la Biennale, bien que son talent soit confirmé depuis longtemps (j'ai apprécié cette jeunesse d'esprit).

Valerio ADAMI


Françoise  a pris le relais 

Je rentre de Giverny où je suis allée voir l'exposition consacrée à la collection Clark.Une merveille! J'y ai vu un tableau qui m'a immédiatement fait penser à votre jeu
                 
Souvenirs et Regrets de Alfred Stevens 
un peintre Belge qui plus est.



REMORDS


Elle pleurait !
- Hier...vous savez: hier?...sanglotait-elle.Et bien, voilà...voilà..j'avais oublié d'ôter de mon cou ma petite médaille bénite !




Danielle  a choisi  un tableau de 
Jean-Baptiste Marie PIERRE




Un grand MERCI à vous toutes !
"Idylle vénitienne" n'est pas terminée, il nous reste quelques belles pages à découvrir...

Et voici ce que j'avais choisi...pour cette page-là!

Jean-Pierre GIBRAT
















lundi 3 octobre 2011

Martine?? ....et la réponse est........???


.J@M, à sa façon, me fait remarquer que la solution à cette petite devinette n'a pas été donnée

J'invite Martine  à préciser sa réponse .....



dimanche 2 octobre 2011

Un beau dimanche...





Felice CASORATI

(Novara 1886  – Turin 1963).
Il vécut et travailla à Turin, mais sa formation artistique apparaît fortement influencée par le Jugendstil, l'art de Toorop et par la Sécession viennoise, comme le montrent son œuvre graphique et ses premières peintures (les Vieilles, 1908-1909, Rome, G. A. M. ; Portrait de la sœur de l'artiste, 1908, Turin, G. A. M.). Son évolution s'effectue en marge des mouvements et lui permet de développer à travers une interprétation personnelle quelques principes de la peinture métaphysique, à laquelle il se rallie à partir de 1919 à la suite de la lecture de la revue Valori Plastici (la Femme et l'armure, 1921). Son style dépouillé se signale par des compositions rigoureusement géométriques, des lignes simplifiées et des couleurs généralement claires. Dans la série des " intérieurs " (Midi, 1922, G. A. M. de Trieste), dans ses portraits et natures mortes, l'univers intime et familier se fige en un monde silencieux et austère où une analyse lucide des formes et de l'espace abolit toute sensibilité. Il est bientôt sensible aux leçons de la peinture ancienne et son portrait de Silvana Cenni (1922) montre des références visibles au Quattrocento lombardo-vénitien et au motif de la " Vierge trônant " qui se voit dans les " Pale ". À partir de 1923, son atelier à Rome est largement fréquenté au point de devenir une véritable " école ". En 1924, à la Biennale de Venise, une salle entière lui est consacrée, présentée par Lionello Venturi. Dans les natures mortes, fréquentes à partir de 1930, Casorati poursuit une recherche rigoureuse excluant toute anecdote dans les rapports des objets entre eux. Á partir de 1927, il s'intéresse aussi à la mise en scène, se passionne pour le travail du grès qui le conduira à réaliser des bas-reliefs (exposition d'architecture de la Ve Triennale de Milan, 1933). En 1938, il obtient le prix de peinture de la Biennale de Venise. Dans ses œuvres postérieures, la couleur s'adoucit et joue un rôle plus important.
   En 1964, deux rétrospectives de son œuvre ont été organisées au M. A. M. de Turin et à la Biennale de Venise. Ses tableaux sont conservés aux G. A. M. de Turin et de Rome et dans des collections privées. Une exposition Casorati a été présentée (Turin, Fondazione Polazzo Bricherazio) en 1996.

SOURCE BIOGRAPHIQUE (clic)Larousse


Passez un beau dimanche !