mardi 30 mai 2017

Les lionnes de Venise




Venise, campo Santa Fosca, octobre 1627. Lucia, jeune et espiègle Vénitienne, se retrouve au milieu des flammes qui dévastent la modeste imprimerie familiale. Sous ses yeux, son père est enlevé par trois hommes armés. Qui donc se cache derrière ce crime ? La veille, la magnifique Isabella Rosselli, la plus rouée des espionnes de la cité des Doges, est venue faire reproduire une étrange gravure.
Lucia est décidée à percer cette énigme et à sauver son père. Dans une quête effrénée, elle s’immisce parmi les puissants, se mêle au bal des faux-semblants du carnaval, s’enfonce dans les arrière-cours des palais. Une Venise fascinante, oppressante, où le pouvoir se confond avec l’amour, où les étreintes succèdent aux duels et les baisers aux complots.
Dans ces bas-fonds de la cité lacustre, amis et ennemis avancent masqués. Lucia joue de ses charmes, de son épée, de son poignard aussi qu’elle porte au mollet. Elle ruse, croise le fer avec Giorgio Cornaro, le fils du doge, homme corrompu et dangereux, prête à tout pour découvrir la vérité sur cette gravure dont tous, à Venise, sont convaincus qu’elle recèle le secret du pouvoir absolu.
Après le succès de sa série sur Aliénor d’Aquitaine, Mireille Calmel nous plonge avec maestria dans la Venise trouble du XVIIe siècle.


Le livre est beau et j'apprécie la taille des caractères qui facilitent la lecture .Dès les premières lignes, j'ai su que cette lecture serait un vrai plaisir et déjà je regrette  le moment où je vais devoir refermer ce livre. 
Je m'oblige à prendre mon temps.Je découvre un auteur et je sais que j'attends déjà la suite des   aventures  des lionnes de Venise.