Venise, 22 novembre 1807. Napoléon, entre dans la Cité des Doges sous les acclamations du peuple. Mais le souverain semble étrangement soucieux. Pourtant, la gloire du nouveau Roi d'Italie n'a jamais été aussi grande : en installant les siens sur les différents trônes, il concentre le pouvoir entre ses mains et devient le seul décideur du destin de l'Europe. Mais l'ennemi s'organise. L'empereur sait qu'il n'a que deux solutions pour asseoir définitivement sa puissance : vaincre par sa suprématie militaire… et conforter sa légitimité éternelle avec un héritier. Justement, sa maîtresse vient de lui donner un fils. Joséphine est maintenant le dernier obstacle entre l'Empire Eternel et lui.
A Venise comme à Paris, ses fidèles lieutenants Murat et Fouché s'interrogent : pourquoi avoir maintenu sa visite à Venise, quand la découverte de plusieurs cadavres et la rumeur d'un possible attentat font planer un danger sur sa vie ? Et qui est cette jeune femme qui se dissimuler dans l'ombre de l'Aigle ? Mais en cette année décisive, qui peut deviner les réelles intentions du « petit caporal » ?
Du même auteur j'avais bien aimé " La conspiration Bosch" dont l'intrigue était,pour moi, bien menée et passionnante tout en restant accessible et agréable à lire.
Dans "1807", je trouve l'intrigue un peu légère et décousue mais néanmoins agréable et surtout facile à lire: une bonne occupation pour une après-midi pluvieuse.Et puis, il y a Venise qui y tient , à mon sens , le rôle le pus important car, vous l'avez deviné, le lecteur qui connait bien la ville est un privilégié qui sait se glisser habilement dans l'ombre des protagonistes.
Bon, ça me fait encore un livre à ranger...qui pourrait vivre une deuxième vie..:-)