samedi 3 septembre 2011

La Mostra...J'ose un Cocorico...

Trois films belges francophones sont présentés à LA MOSTRA( ils seront également projetés au festival international de Toronto, organisé en même temps que Venise)



signera sur le Lido son retour à la fiction avec une adaptation du roman de Joseph CONRAD " La folie Almayer".

 Bornéo à la fin des années 1950. La Malaisie est sous domination anglaise et la révolte gronde. Mais dans un petit village perdu au bord d'un grand fleuve tumultueux, un Européen s'accroche à ses rêves de fortune par amour pour sa fille.Le film est présenté hors-compétition lors de la 68è Mostra de Venise.

La réalisatrice belge sera également honorée à Venise pour l'ensemble de sa carrière.

connu pour ses courts métrages expérimentaux, présentera "L'envahisseur"
Ce premier long métrage est avant tout décrit comme une plongée impressionnante dans l'univers des illégaux et des négriers dans la capitale de l'Europe.
***
Le dernier film belge s'intitule "L'hiver dernier" et a été réalisé par John SHANK
***

Et puis, last but not least, un festival de cinéma ne serait pas un festival de cinéma sans...les frères DARDENNE. :-)



Jean-Pierre et Luc sont à Venise pour y recevoir le prix Robert BRESSON, une récompense remise par le Vatican qui distingue les cinéastes ayant une oeuvre constituée par un témoignage significatif de la recherche du sens spirituel de la vie.

Thomas Doret et Cécile de France
Leur " Gamin au vélo", même en gondole, n'a pas fini de tourner!
  
Photos Wikipedia
Information : signé NB dans le Mag TV

7 commentaires:

  1. Osez, Danielle, osez, car la Belgique est fort bien représentée. Vous parlez moins du film de John Shank. Quel est son argument?
    Je vous souhaite un bon weekend.

    RépondreSupprimer
  2. Pour Anne...voici le synopsis du film de John SHANK...
    """Quelque part sur un plateau isolé. Johann a trente ans, il a repris la ferme de son père. Il y consacre tout son temps et toute son énergie. Son héritage est toute sa vie.
    Autour de lui, une communauté qui survit, et un monde naturel qui lui a tout donné, tout appris, qui à la fois le ravit et l’épuise.
    Avant l’hiver, une grange pleine de fourrage brûle, faisant basculer l’équilibre fragile de son exploitation.
    Comment faire face à la perspective de la disparition de tout ce qui lui a été donné, transmis ?
    Pourquoi va-t-il chercher sa sœur dans un institut où on s’occupe d’elle pour la ramener chez lui, dans son monde qui s’écroule ? Pourquoi commence–t-il à fuir Julie, une jeune femme avec laquelle il entretient une relation amoureuse ambiguë ? Que va devenir Pierre, un garçon qu’il a pris chez lui pour décharger ses parents ? Et pourquoi s’opposer à Hélier, un éleveur plus âgé, qui lui propose une solution pour faire face à ses problèmes financiers ?
    Dans un monde fragile voué à une mort certaine, Johann se replie sur lui-même. Plutôt que de faire face à la perte, il continue à accomplir les gestes qu’il connaît et qu’il aime, sans pouvoir lâcher ce qu’il tient dans les mains, et sans pouvoir s’abandonner aux êtres qui l’entourent.
    L’histoire d’un homme, prisonnier de son héritage, qui essaye d’aimer une dernière fois, comme il peut, l’univers dans lequel il vit au moment même où son monde va être amené à disparaître""


    http://blog.hiverdernier.com/

    Bon weekend à vous !

    RépondreSupprimer
  3. Justement jeudi j'irai voir ce fameux gamin au vélo, qui passe dans un petit village près d'ici !
    Bon dimanche

    RépondreSupprimer
  4. Moi, je n'ai pas eu l'occasion de le voir..tu nous donneras tes impressions.J'aime beaucoup les films des frères Dardenne.
    Bon dimanche à toi!

    RépondreSupprimer
  5. Vive la Belgique, ose ton Cocorico !
    J'ai lu ce que tu dis à Anne, une belle histoire !
    bisous et excellent dimanche
    Danielle

    RépondreSupprimer
  6. L'histoire de Johann me paraît très émouvante. J'imagine que les images du film sont très belles et que son rythme est plutôt lent. Merci de vos explications.

    RépondreSupprimer
  7. J'avoue, Anne, que je ne connais pas les créations de John Shank.Ces dernières années , j'ai peu fréquenté les salles de cinéma.Je n'aime pas y aller seule et mon époux préfère son fauteuil..je devrais trouver une amie pur m'accompagner car
    c 'est aussi plus gai et plus intéressant quand on peut échanger ses impressions directement.
    Mais dès que les films des frères Dardenne sont programmés en télévision, alors je ne les manque pas.C'est un cinéma à haute valeur humaine..qui réconcilie avec la vie.

    RépondreSupprimer