Grâce au billet de Fausto ( clic)
j'ai pu donner un nom à cette petite cour que je ne parvenais plus à situer,
mes photos datant de 2005.
Il s 'agit donc de la Corte Gherardi dans Cannaregio.
j'ai pu donner un nom à cette petite cour que je ne parvenais plus à situer,
mes photos datant de 2005.
Il s 'agit donc de la Corte Gherardi dans Cannaregio.
Nous ne sommes pas loin du Sotoportego Corner o del Pistor
ni du Campiello Bruno CROVATO
QUI LA NOTTE DELL'OTTO LUGLIO 1944
BRUNO CROVATO
CADEVA SOTTO I COLPI DELLA BARBARIE
FASCISTA TESTIMONIANDO CON LA MOR=
TE L'IDEA IMMORTALE DI LIBERTÀ
PER SOTTOSCRIZIONE DI POPOLO IL COMUNE
BRUNO CROVATO
CADEVA SOTTO I COLPI DELLA BARBARIE
FASCISTA TESTIMONIANDO CON LA MOR=
TE L'IDEA IMMORTALE DI LIBERTÀ
PER SOTTOSCRIZIONE DI POPOLO IL COMUNE
Je n'ai pas trouvé de renseignements au sujet de ce Bruno CROVATO dont je comprends qu'il fut abattu "pour la liberté"". Je suppose que c'était un partisan et je compte sur Fausto ( encore lui) pour éclairer ma lanterne et la vôtre par la même occasion.
Bon week-end...à toutes et tous !
ALDO a mené sa petite enquête , en voici les résultats
( voir aussi dans les commentaires )
« En 1944, en représailles à une action partisane, les républicains de Salò tuèrent sur la voie publique cinq personnes suspectées d’antifascisme (Ubaldo Belli, Luigi Borgato, Bruno Crovato, Piero Favretti, Augusto Picutti) et en blessèrent gravement une autre (Giuseppe Tramontin) en le laissant pour mort. On trouve aujourd’hui encore dans le sestiere, les plaques qui commémorent leur assassinat. »
****
Il existe effectivement plusieurs lieux dédiés à ces personnes. On trouve dans Cannaregio, outre le Campiello Bruno Crovato Gia' San Canzian, le Ponte Ubaldo Belli, la Calle Pietro Favretti già Colombina et le Campiello Augusto Picutti già del Magazen. Je n’ai par contre rien trouvé portant le nom de Luigi Borgato.
***
Petite correction... il semble que ce soit le Ponte dei Sartori qui soit dédié à la mémoire de Luigi Borgato.
C’est incroyable comme une plaque commémorative peut, si on se donne la peine de chercher, permettre de découvrir un pan méconnu de l’histoire de la ville de Venise.
ALDO a mené sa petite enquête , en voici les résultats
( voir aussi dans les commentaires )
« En 1944, en représailles à une action partisane, les républicains de Salò tuèrent sur la voie publique cinq personnes suspectées d’antifascisme (Ubaldo Belli, Luigi Borgato, Bruno Crovato, Piero Favretti, Augusto Picutti) et en blessèrent gravement une autre (Giuseppe Tramontin) en le laissant pour mort. On trouve aujourd’hui encore dans le sestiere, les plaques qui commémorent leur assassinat. »
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Il existe effectivement plusieurs lieux dédiés à ces personnes. On trouve dans Cannaregio, outre le Campiello Bruno Crovato Gia' San Canzian, le Ponte Ubaldo Belli, la Calle Pietro Favretti già Colombina et le Campiello Augusto Picutti già del Magazen. Je n’ai par contre rien trouvé portant le nom de Luigi Borgato.
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Petite correction... il semble que ce soit le Ponte dei Sartori qui soit dédié à la mémoire de Luigi Borgato.
C’est incroyable comme une plaque commémorative peut, si on se donne la peine de chercher, permettre de découvrir un pan méconnu de l’histoire de la ville de Venise.
Bien qu'il s'agisse de la même cour, vos photos nous en montrent des aspects différents, preuve que mille regards seront mille Venise diverses. J'ai hâte de voir cet endroit à mon tour, mais il ma faudra être patiente.
RépondreSupprimerBon weekend à vous.
Anne
la cercherò questa corte :)
RépondreSupprimerTu me donnes très envie d'aller me promener...comme ce serait agréable aujourd'hui de faire un petit tour en ces lieux !
RépondreSupprimerIci il pleut, le vide-grenier a été annulé pour dimanche prochain, qui sait ?
biosu
Danielle
Voici ce que j’ai trouvé (et traduit) concernant Bruno Crovato.
RépondreSupprimer« En 1944, en représailles à une action partisane, les républicains de Salò tuèrent sur la voie publique cinq personnes suspectées d’antifascisme (Ubaldo Belli, Luigi Borgato, Bruno Crovato, Piero Favretti, Augusto Picutti) et en blessèrent gravement une autre (Giuseppe Tramontin) en le laissant pour mort. On trouve aujourd’hui encore dans le sestiere, les plaques qui commémorent leur assassinat. »
Merci Aldo, pour tes recherches et la traduction.Il doit donc y avoir d'autres laques en d 'autres endroits.
RépondreSupprimerIl existe effectivement plusieurs lieux dédiés à ces personnes. On trouve dans Cannaregio, outre le Campiello Bruno Crovato Gia' San Canzian, le Ponte Ubaldo Belli, la Calle Pietro Favretti già Colombina et le Campiello Augusto Picutti già del Magazen. Je n’ai par contre rien trouvé portant le nom de Luigi Borgato.
RépondreSupprimerPetite correction... il semble que ce soit le Ponte dei Sartori qui soit dédié à la mémoire de Luigi Borgato.
RépondreSupprimerC’est incroyable comme une plaque commémorative peut, si on se donne la peine de chercher, permettre de découvrir un pan méconnu de l’histoire de la ville de Venise.
Merci Aldo, j'ai ajouté tes conclusions au billet, de cette façon, elles apparaissent directement. Tu as raison lorsque tu dis que toute une partie de l'histoire de Venise nous reste inconnue...je crois que l'on a tendance à se concentrer sur une époque au détriment de toutes une série d'évènements marquants pour la ville.
RépondreSupprimerMerci pour votre dévouement. Cet endroit semble beaucoup changé dans ces cinq années. Aldo a été très bonne à tout expliquer.
RépondreSupprimerA bientôt.